140 signification japon
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Quelle est la signification symbolique du nombre 140 dans la culture japonaise ?

PAR DIANE LENCRE

Vous vous demandez quelle est la signification du nombre 140 au Japon ? Les nombres ont souvent des symboliques profondes dans la culture japonaise. Le chiffre 140 n’échappe pas à cette règle. Mais que signifie-t-il vraiment ? Dans la numérologie japonaise, chaque nombre peut véhiculer un message ou une tradition. Vous êtes curieux de savoir ce que le 140 représente ? Il peut être lié à des croyances ou des événements spécifiques. Découvrez dans cet article comment ce nombre s’inscrit dans l’histoire et la culture japonaise. Vous serez surpris par ses multiples interprétations !

Les japonais sont-ils superstitieux avec les chiffres et des nombres?

140 signification japon

Dans le monde mystique des croyances japonaises, les chiffres et les nombres flottent comme des esprits à travers les brumes de la tradition et de la superstition. Chaque numéro chuchote ses propres secrets et légendes, tissés dans le tissu de la vie quotidienne et des rituels anciens.

  • Le chiffre 4, murmurant avec une voix semblable à celle de "shi", le mot pour "mort", plane tel un fantôme dans l'esprit des gens, évoquant des frissons de prudence et d'évitement.
  • Le 9, avec son écho à "ku", signifiant "souffrance", se glisse dans les ombres, rappelant aux cœurs la nature parfois douloureuse de l'existence.
  • En contraste, le 7 danse dans la lumière, porteur de chance et de bonheur, un phare de prospérité et de joie dans les vagues de la vie.
  • Le 8, dessinant l'infini, susurre des promesses d'abondance et de continuité, un cycle éternel de fortune et de bien-être.

Dans cet univers où les chiffres sont plus que de simples symboles, ils deviennent des guides, des présages, des amis et parfois des avertissements.

Le peuple japonais, écoutant ces murmures ancestraux, trouve dans les nombres une carte pour naviguer dans les eaux souvent mystérieuses de la destinée et du destin.

140 est-il un nombre ou un chiffre?

Dans le rêve des mathématiques, 140 se dévoile comme un nombre, une constellation de trois chiffres unis en une mélodie harmonique.

Quelles peuvent être les significations symboliques du nombre 140 dans la culture japonaise ?

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Dans le monde onirique des nombres japonais, où chaque chiffre murmure ses propres légendes, le nombre 140 flotte comme un voile de mystère et de possibilités.

  • Le chiffre 1 parle d'un début, une étincelle solitaire dans l'obscurité, évoquant un voyage qui commence, un chemin qui s'ouvre.
  • Le 4, malgré son ombre portée par la ressemblance avec le mot "mort", se transforme en "yon", un chant plus doux, invitant à la contemplation de la stabilité et de l'ordre.
  • Le 0, un cercle parfait, murmure l'infini, englobant le tout dans son étreinte, rappelant l'éternel cycle de la vie et de la renaissance.

Ainsi, 140, dans son ensemble, devient une mélodie de contraste et d'harmonie, un tissage de lumière et d'ombre, évoquant un équilibre entre le commencement et l'infini, entre la vie et l'au-delà.

Quel lien entre le nombre 140 et le manga "L'Attaque des Titans" ?

Eren est un personnage central du manga "L'Attaque des Titans" ("Shingeki no Kyojin" en japonais), créé par Hajime Isayama. Ce manga, connu pour son histoire intense et ses thèmes profonds comme le sacrifice, la liberté, et la lutte contre l'oppression, a captivé des lecteurs du monde entier.

Eren Jaeger, le personnage, se distingue par sa détermination farouche à combattre les Titans, des créatures gigantesques qui menacent l'existence de l'humanité dans son monde.

"L'Attaque des Titans" ("Shingeki no Kyojin"), le manga de Hajime Isayama, se compose de 139 chapitres au total. La série a débuté en 2009 et s'est conclue en avril 2021.

Sur les réseaux sociaux, certaines interprétations suggèrent que le personnage d'Eren dans "L'Attaque des Titans" était finalement prisonnier de son propre pouvoir, notamment sa capacité de voir l'avenir, ce qui l'empêchait d'exercer un véritable libre arbitre.

La fin du manga au chapitre 139, juste avant le 140 - un nombre qui, dans cette analyse, est symboliquement lié à la notion de liberté - peut être vue comme une métaphore indiquant que la liberté totale est un idéal insaisissable.

De plus, cette interprétation suggère que le cycle de la guerre et des conflits, thème central du manga, est inévitable et perpétuel.

 


La numérologie au Japon est-elle vraiment développée ?

Pas autant qu’on pourrait le croire. Du moins, pas sous le mot numérologie comme on l’entend en Occident. Là-bas, les chiffres ont bien une âme, une aura, parfois même un poids spirituel. Mais tout ça, c’est glissé dans d’autres traditions. On ne parle pas forcément de “numérologie japonaise” avec des grilles et des cycles comme en France ou aux États-Unis. On est plutôt dans les non-dits. Les symboles subtils. Les silences qui en disent long.

Alors, est-ce qu’on peut dire que les Japonais font de la numérologie sans le savoir ? Un peu comme Monsieur Jourdain qui faisait de la prose ? Peut-être bien. Ou peut-être qu’ils la vivent autrement. Avec plus de mystère, plus de discrétion. C’est comme si les chiffres devenaient des talismans invisibles, des porteurs d’énergie, mais sans l’étiquette tape-à-l’œil.

Quels chiffres portent malheur au Japon ?

Le 4, sans hésiter. Il fait froid dans le dos. Il se prononce shi... comme le mot pour la mort. Autant dire que ça ne rigole pas. On évite de le voir sur les plaques, dans les ascenseurs, sur les chambres d’hôpital. Comme si le chiffre lui-même portait la poisse. Comme s’il allait ouvrir une porte que personne ne veut franchir.

Il y a aussi le 9, qui se prononce ku. Et ku, c’est la douleur, la souffrance. Ambiance. Alors on fait attention. On zappe ces chiffres dès qu’on peut. Certains immeubles sautent même carrément les étages concernés. Du 3 on passe au 5. Du 8 on glisse au 10. Un peu comme si on effaçait une mauvaise nouvelle avant qu’elle n’arrive.

C’est étrange, non ? Ce pouvoir qu’on donne à un simple chiffre. Ce poids que porte une prononciation. Mais au Japon, ce genre de choses compte. C’est pas de la superstition bête et méchante. C’est une forme de respect. Une manière d’éviter de déranger les énergies, de jouer avec les ombres.

Existe-t-il des chiffres chanceux au Japon ?

Heureusement, oui. Il y a des chiffres qui réchauffent. Qui font sourire. Qui rassurent même. Le 7, par exemple, est vu comme un chiffre porte-bonheur. Il est associé à la spiritualité, à la chance, aux divinités bienveillantes. On le retrouve dans les fêtes traditionnelles comme le Shichigosan (7-5-3), où les enfants sont célébrés selon leur âge.

Le 8 aussi est plutôt aimé. Pourquoi ? Parce que son tracé s’élargit. Il part étroit, puis il s’ouvre. Une image de prospérité qui grandit. De vie qui s’épanouit. Ce chiffre-là respire. Il fait penser à un éventail qu’on déploie sous un cerisier en fleurs. C’est doux, c’est lent, ça rassure.

Et puis il y a les combinaisons. Le 888, par exemple, est un grand classique pour porter chance. Il incarne l’abondance. Un peu comme si l’univers lui-même vous envoyait un clin d’œil cosmique.

Est-ce que les prénoms japonais sont influencés par la numérologie ?

Alors là, oui. Mais d’une manière bien plus complexe que nos systèmes occidentaux. On entre dans le monde des kanji. Ces caractères ont chacun un sens, une sonorité, mais aussi… un nombre de traits. Et c’est là que ça devient intéressant. Certains parents choisissent les kanji des prénoms de leurs enfants en fonction de ce nombre. Parce qu’un prénom avec 13 traits, ce serait mal vu. Mais 21 ou 25 ? Là, on touche à l’harmonie.

Ce n’est pas de la numérologie pure, comme on la pratique ici avec des tableaux. C’est plus subtil. Plus codé. Mais l’intention est la même : choisir un chemin porteur, faire entrer de la lumière dans un prénom. On ne veut pas juste que ce soit joli. On veut que ce soit fort. Serein. Prospère.

Et c’est là que le Japon impressionne. Cette capacité à mettre du sens dans chaque coup de pinceau. Dans chaque chiffre invisible derrière les lettres. Comme si chaque prénom était un petit mantra silencieux, écrit pour accompagner une vie entière.

Est-ce que la numérologie occidentale intéresse les Japonais ?

De plus en plus, oui. Il y a une vraie curiosité pour tout ce qui vient d’ailleurs. Les cafés ésotériques, les boutiques new age, les influenceurs qui parlent d’énergies et de vibrations : tout ça existe aussi à Tokyo. Ce n’est pas encore la folie comme en Californie, mais il y a un vrai terrain fertile.

Des jeunes Japonais s’initient à la numérologie Pythagoricienne. D’autres découvrent les liens entre date de naissance et mission de vie. Certains adorent tirer leur chemin de vie à partir de leur date. Et comme souvent au Japon, quand quelque chose plaît, on le pousse très loin. Avec méthode, avec respect. Il y a même des formations, des coachs, des livres en japonais sur les grands chiffres de l’âme.

Alors oui, la numérologie “à la française” ou “à l’américaine” commence à se faire une place. Mais toujours en dialogue avec leur propre culture. On ne remplace pas les traditions. On les tisse avec d’autres fils.

Est-ce que les Japonais consultent des numérologues ?

Pas vraiment sous ce nom. Mais ils vont voir des moines, des maîtres du feng shui, des experts en onomancie (l’art de lire dans les noms). Ces gens-là vont parfois analyser les chiffres. Les dates. Les correspondances cachées. C’est pas une “consultation numérologique” comme on la proposerait à Paris. C’est plus cérémoniel. Plus ancré.

On ne vient pas juste “connaître son chiffre de destinée”. On vient comprendre ce qui bloque, ce qui freine, ce qui appelle au changement. Et parfois, le chiffre est là, en filigrane. Il murmure. Il guide. Mais jamais en hurlant. Jamais de façon tape-à-l’œil. C’est ça, le Japon : l’élégance jusque dans l’invisible.

Y a-t-il des objets porte-bonheur numérologiques au Japon ?

Oui, et pas qu’un peu. Vous avez sûrement déjà vu ces omamori : de petits talismans en tissu vendus dans les temples. Certains sont liés à une année, à une date de naissance, à une chance calculée. Les chiffres sont là, même s’ils ne sont pas écrits en gros.

Il y a aussi les plaques d’immatriculation personnalisées, très populaires. Certains Japonais paient cher pour avoir un “777” ou un “8888” sur leur voiture. C’est presque un gri-gri roulant. Une manière de mettre la chance dans le quotidien. Même en allant au supermarché.

Et puis il y a les dates. Pour se marier, déménager, lancer une entreprise… on choisit avec soin. On évite certains jours, on privilégie d’autres. Une numérologie invisible, tissée dans les rituels de la vie. Pas besoin de chiffres brillants, tout est dans le ressenti.

Pourquoi la relation au chiffre est-elle si forte au Japon ?

Parce que le Japon a cette manière unique de ressentir les choses. Là où d’autres cultures intellectualisent, analysent, eux… ils observent. Ils ressentent les ambiances. Ils respectent l’invisible.

Le chiffre devient presque un esprit. Une présence. Et quand on sent qu’un chiffre porte le malheur, on ne le contredit pas. On s’incline. On détourne la tête. Comme on le ferait face à un yokai, un esprit étrange qui traverse la rue au crépuscule.

Et à l’inverse, quand un chiffre vibre joliment, on l’accueille. On l’invite. On le glisse sur un bijou, dans un prénom, sur une enveloppe de vœux. Tout doucement. Sans en faire trop. Mais avec foi.

Peut-on vraiment parler de “numérologie japonaise” ?

Pas dans le sens classique du terme. Mais dans le fond ? Oui, bien sûr. Le Japon a sa propre poésie des nombres. Ses propres codes. Son propre langage chiffré.

Ce n’est pas une science. C’est un art de vivre avec les nombres. Un art discret, mais vibrant. Un peu comme une calligraphie dont les traits cacheraient des secrets millénaires.

Alors oui, on peut parler de numérologie japonaise, mais il faut le faire avec tendresse. Avec nuances. Pas comme une grille à remplir, mais comme une musique à écouter. Les chiffres y dansent autrement. Ils prennent leur temps. Et ils nous apprennent, au passage, à faire pareil.

Bien que le nombre 140 n'ait pas de signification symbolique intrinsèque dans la culture japonaise traditionnelle, sa composition et sa phonétique peuvent inspirer diverses interprétations. C'est un exemple fascinant de la manière dont les chiffres peuvent être perçus et interprétés différemment selon les contextes culturels et personnels.

À propos de l’autrice

Diane Lencre, rédactrice pour Rose La Lune Paris, écrit comme on souffle un vœu à la lune. Guidée par les cycles lunaires et portée par une passion sincère pour le bien-être, elle partage des mots de douceur, d’inspiration et de tendresse pour éclairer les chemins intérieurs.

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