Lumières qui clignotent quand vous entrez dans une pièce: quelle signification spirituelle?
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Lumières qui clignotent quand vous entrez dans une pièce: quelle signification spirituelle?

PAR DIANE LENCRE

C’est discret. Mais ça vous pince le cœur. Vous poussez la porte… et paf, la lumière clignote. Une, deux fois. Parfois plus. Vous restez figé. Vous avez bien vu, non ? Ce n’est pas juste une ampoule fatiguée. C’est autre chose. Une sensation étrange flotte. Comme un courant d’air dans l’âme.

Et si ce n’était pas un hasard ?

L’électricité… ou autre chose ?

Oui, bien sûr, on connaît l’explication technique. Un faux contact. Une tension instable. Un interrupteur capricieux. Mais parfois, ce que l’on ressent dépasse la logique. Parce que cette lumière, elle clignote pile au moment où vous entrez. Et c’est pas la première fois. Toujours dans cette pièce. Toujours à votre passage.

Franchement, ça interpelle.

Et si ce phénomène lumineux, en apparence banal, était un message spirituel ? Une manière pour l’invisible de vous faire signe, sans mot, sans bruit. Juste… un scintillement. Comme un clin d’œil entre deux mondes.

Des présences qui veulent dire bonjour ?

Dans de nombreuses traditions, les âmes des défunts utilisent la lumière pour signaler leur présence. Les lampes, les écrans, les néons : tout devient messager. On ne les voit pas, mais eux… ils nous voient. Et parfois, ils veulent juste dire “je suis là”.

Un grand-père protecteur. Une amie partie trop tôt. Ou même une énergie bienveillante qui passe. Ça arrive souvent dans les moments-clés : un deuil, une naissance, un virage de vie. Ces clignotements deviennent alors des petits repères. Un peu comme des balises dans le noir.

C’est doux. C’est troublant. Mais c’est loin d’être négatif.

Votre énergie intérieure fait aussi vibrer les ampoules

Oui, votre propre énergie compte. Certaines personnes émettent une vibration forte. Assez forte pour perturber le champ électromagnétique autour. Ce n’est pas de la science-fiction. C’est juste… humain. Il paraît même que certaines âmes sensibles font planter les horloges, bugguer les téléphones, ou exploser les ampoules.

Ça vous est déjà arrivé ?

Une émotion trop forte. Un trop-plein d’angoisse. Ou au contraire, une montée d’amour immense. Et hop. La lumière se met à danser. C’est comme si le corps ne pouvait plus tout contenir. Alors, ça déborde. Et l’électricité autour le capte, réagit, s’emballe.

Un appel à ralentir, peut-être ?

Il y a des jours où tout s'accélère. On court, on oublie de respirer. Et parfois, le clignotement d’une lampe peut aussi être un rappel. Un petit arrêt sur image. Un chuchotement symbolique : "Tu vas trop vite. Reviens à toi."

L’univers a parfois ce genre d’humour.

On veut tout gérer, tout comprendre, tout prévoir. Mais la lumière, elle clignote sans prévenir. Et dans ce battement lumineux, il y a une leçon invisible. Presque une méditation involontaire. On se fige. On doute. Et on écoute.

Et si c'était un portail ?

Certain·es parlent de portails énergétiques. Des lieux de passage. Entre ici et ailleurs. Des endroits où les voiles sont plus fins. Où la lumière, au sens large, se manifeste. Et devinez quoi ? Ces lieux-là, on les ressent. Frissons, sensation d’être observé, objets qui changent de place… et oui, lumières qui clignotent.

Pas besoin d’habiter un vieux manoir pour ça. Parfois, c’est juste une chambre. Ou une cuisine. Mais ce lieu, il garde une mémoire. Il vibre différemment.

Comment réagir face à une lumière qui clignote ?

  • Observez. Quand cela arrive-t-il ? Toujours au même moment ?

  • Ressentez. L’atmosphère change-t-elle ? Une sensation dans le ventre ?

  • Notez. Tenez un petit journal. Oui, même pour ça.

  • Parlez. À voix haute. À vous-même. À “eux”. Parfois, un simple “merci” suffit.

  • Nettoyez l’espace. Avec de la sauge, une bougie, ou de la musique douce.

Vous n’êtes pas fou·folle. Vous êtes réceptif·ve. Et ça, c’est précieux.

Ce n’est pas juste une ampoule

C’est un petit théâtre, là-haut, qui vous fait signe. Une vibration. Une attention. Une présence.

Ou peut-être même… une invitation.

À ralentir. À écouter. À croire un peu plus. Parce que parfois, la lumière clignote pour illuminer autre chose. Pas la pièce. Mais votre chemin.

Les différentes formes d’électricité… ou quand l’invisible se fait courant

Il n’y a pas qu’une électricité. Non. Ce serait trop simple. Il y en a des visibles, des invisibles. Des qui piquent, des qui caressent. Des qui allument les lampes, et d'autres… qui allument l’âme.

L’électricité classique : celle des ampoules et des factures

Celle-là, tout le monde la connaît. 220 volts, des fils, un disjoncteur. L’électricité de papa. Elle passe par les murs. Elle obéit (en théorie) aux lois de la physique. C’est elle qui fait griller le grille-pain. Elle, elle est palpable. Elle est là. On peut même la payer tous les mois…

Mais même dans celle-ci, il y a du mystère. Ce courant qui traverse un fil sans jamais se perdre. Cette étincelle qui naît d’un simple contact. C’est presque poétique, non ? Un peu comme une promesse silencieuse entre deux pôles.

L’électricité statique : la rebelle, celle qui claque

Un pull, une chaise, un tapis… Et paf ! Une micro-décharge. Un petit éclair de rien du tout. L’électricité statique, c’est la sauvage. Elle arrive sans prévenir, comme un chat qui griffe puis repart. Un peu moqueuse, un peu joueuse. On la sent, on la voit, mais on ne la comprend jamais vraiment.

Et si elle n’était pas si anodine ? On dit qu’elle est liée à l’état émotionnel. Quand l’air est sec. Quand on est tendu. Quand les corps sont trop chargés. Comme des orages miniatures qui cherchent à sortir.

Franchement… on ne la voit pas venir. Mais on ne l’oublie pas.

L’électricité émotionnelle : celle qui fait vibrer les cœurs

On entre dans une pièce. Une personne nous regarde. Et boum. Une tension électrique. Ce n’est pas un regard, c’est un courant. Un truc qui chatouille la peau, mais de l’intérieur.

Vous voyez de quoi on parle ?

C’est l’électricité du lien, celle qui court entre deux êtres. Celle qu’on sent dans les mains qui se frôlent. Dans les silences lourds de sens. Dans les retrouvailles où les mots sont de trop.

Et elle, elle ne fait pas griller les ampoules. Mais elle reste. Parfois toute une vie.

L’électricité spirituelle : celle des signes subtils

Et si certaines énergies invisibles prenaient la forme d’électricité ? Des champs vibratoires. Des fréquences fines. Trop fines pour nos appareils, mais pas pour nos corps.

Certaines personnes parlent de “picotements” en méditation. De “fourmillements” dans les mains. De chaleur qui monte, qui descend. Comme si une présence invisible passait à travers les cellules.

C’est discret. Mais puissant.

On n’y pense pas assez, mais notre corps est électrique. Le cœur bat grâce à une impulsion. Le cerveau envoie des signaux électrochimiques. Même nos émotions ont une fréquence.

Et si les esprits, les guides, les énergies de l’au-delà… utilisaient cette voie-là ? Comme une autoroute de lumière. Pour nous toucher sans se montrer.

L’électricité des lieux : quand les murs ont une mémoire

Il y a des endroits où ça grésille. Où l’air est lourd. Où le néon ne tient pas en place. Ce n’est pas qu’une question de vieux câblage.

Parfois, un lieu garde une trace énergétique. Un choc émotionnel. Un passage fort. Un secret ancien. Et l’électricité devient un témoin muet. Elle se met à danser, à faire des siennes, comme pour dire : “Quelque chose s’est passé ici.”

Et si les murs parlaient, ils raconteraient des choses…

À propos de l'auteur

Diane Lencre, rédactrice pour Rose La Lune Paris, est passionnée par le bien-être et guidée par son lien spirituel avec les cycles de la lune. À travers ses articles, elle partage des mots de douceur, d'inspiration, et de bienveillance, pour accompagner chacun vers une vie plus apaisée.

Contactez Diane à : diane@roselalune.com

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