Portail énergétique du 12 décembre: quel rituel de méditation?

Portail énergétique du 12 décembre : et si on ralentissait ?

Le 12 décembre… rien que ce chiffre double sonne comme un battement.
Un tempo régulier. Un murmure cosmique.

On ne sait pas vous, mais cette date a quelque chose de rond, de rituel, presque solennel. Pas solennel comme un discours de mariage, non… Solennel comme un silence qu’on sent chargé. Une pièce qui frémit. Un air qui vibre sans qu’on comprenne pourquoi.

Ce jour-là, le 12/12, on entre dans un portail énergétique.
Un passage. Une charnière. Une bascule.
C’est pas juste un joli chiffre en double. C’est comme une grande porte invisible, qui s’entrouvre pour quelques heures. Et derrière ? Un espace clair, net, vibrant. Comme si l’univers lui-même retenait son souffle.

Mais alors, on en fait quoi ? On médite ? On s’assoit en tailleur ? On allume une bougie ?
Oui. Mais pas n’importe comment. Pas mécaniquement. Pas comme on fait une to-do list.

Il y a une façon sensorielle, pleine, de vivre ce rituel. Une façon de s’ancrer, pour de vrai.

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12/12 : un portail, pas un portail web

D’abord, oublions un instant les mots flous. “Vibration haute”, “ascension énergétique”, “connexion cosmique”... On vous voit venir. C’est joli, mais parfois ça flotte.

Ce portail énergétique, c’est avant tout une ouverture intérieure.
Une dispo émotionnelle, si vous voulez.
Comme si l’univers (ou peu importe le nom que vous lui donnez) créait un tunnel de calme dans le brouhaha ambiant.

Pas besoin de comprendre tous les mécanismes. On n’exige pas d’un chat qu’il connaisse la physique quantique pour ressentir le soleil.

Le 12 décembre, on vous propose un truc simple :
écoutez le silence.
Et dans ce silence, préparez un rituel. Pas une recette. Un moment sacré.

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Préparer l’espace : ce n’est pas juste allumer une bougie

On ne médite pas dans un coin encombré, comme on ne rêve pas dans un supermarché.
Alors, premier pas : nettoyer l’énergie autour.
Pas avec un balai Swiffer, non. Avec vos sens.

• Une odeur chaude (encens, résine, cannelle… à vous de voir).

• Une lumière douce (pas de plafonnier clinique, pitié).

• Une texture confortable (plaid moelleux, coussin ferme, sol frais si vous aimez sentir la pierre).

Et surtout, éteignez les distractions. Téléphone en mode avion. Pas de bips. Pas de notifications. Ce n’est pas négociable.

Parce que ce jour-là, vous ouvrez une fenêtre intérieure, et tout ce qui fait “ding” ferme les volets.

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Le corps, d’abord

Avant de méditer, on oublie souvent un truc : le corps.

Essayez ça :

• Mains posées sur le ventre

• Épaules relâchées (vraiment, relâchées)

• Un long souffle… jusqu’à ce que le ventre gonfle

• Puis on expire. Looooooooongtemps.

Faites-le 3 fois.
Ou 7.
Pas plus. C’est suffisant.

Ce souffle-là, c’est un code d’entrée. Une sorte de badge énergétique pour passer le portail.

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Le rituel du 12 décembre : pas besoin de guru, juste de présence

Le 12/12 n’a pas besoin d’un manuel. Mais si vous voulez un fil rouge, en voici un.

On l’appelle souvent : le rituel de l’alignement en miroir.

Pourquoi miroir ? Parce qu’il reflète. Et ce portail aussi.

Voici une version simplifiée et incarnée :

1. Fermez les yeux. Mais pas pour fuir. Pour sentir de l’intérieur.

2. Posez une main sur le cœur. Et l’autre… là où ça vous apaise.

3. Posez cette question (en silence ou à voix basse) :

   “Qu’est-ce que je traîne encore de l’année ?”
   Laissez venir les images. Les rancunes. Les échecs. Même les miettes.

4. Puis une autre :

   “Et qu’est-ce que j’aimerais emporter en 2026 ?”
   Là, c’est plus lumineux. Ça picote un peu parfois. C’est bon signe.

Et ensuite ?
On écoute.
Pas avec les oreilles. Avec la peau, avec le ventre, avec ce qu’on appelle parfois l’intuition (ou la petite voix, ou le chat perché au fond du cœur…).

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Petit détail qui change tout : le mot-clé

Durant votre rituel, laissez un mot apparaître.
Un mot qui s’impose doucement, comme un invité discret.
Il peut être banal (“douceur”), un peu mystique (“ouverture”), ou totalement inattendu (“patate”).

Gardez-le. Écrivez-le.
Et jusqu’à la fin de l’année, regardez-le tous les jours.
Juste ça.

C’est un talisman invisible.
Pas magique façon baguette. Mais porteur d’un fil.
Un fil qui vous relie à ce 12 décembre, même quand on est le 27 janvier et qu’il pleut.

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Pourquoi cette date-là ? Pourquoi pas le 11 ou le 13 ?

Le 12/12 est souvent lié à la vibration du chiffre 3 (1 + 2 = 3, doublé).
Et le 3, c’est pas un chiffre sage. C’est un chiffre en mouvement.
Il parle d’expression, de reliance, de cette envie qu’on a tous, parfois, de se reconnecter sans se perdre.

Ce portail-là tombe souvent juste.
Il arrive à la fin de l’année, quand tout est déjà trop, trop plein, trop bruyant, trop rapide.

C’est une respiration sacrée entre le tumulte et la bascule vers l’année suivante.

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Et après ? Que faire une fois le rituel terminé ?

Rien.
Ou presque.

On vous recommande juste un truc : ne pas zapper tout de suite.
Ne pas filer sur Instagram pour poster “✨ vibes du 12/12 ✨”.

Prenez un thé. Marchez pieds nus. Écoutez un vieux morceau qui vous remue.
Grattez un papier, même moche, même flou.

Le portail énergétique, ce n’est pas une scène Instagram.
C’est un point d’ancrage discret. Presque secret. Et c’est très bien comme ça.

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Et si on ratait le portail ?

Bonne question.

Mais en vrai ? On ne rate jamais vraiment un portail.
Parce que l’énergie, ce n’est pas un train avec des horaires fixes.
C’est une vague. Elle revient. Elle s’adapte. Elle circule.

Le 12/12 est un prétexte puissant. Mais si vous méditez le 13 ou le 14, avec le même cœur… c’est tout aussi précieux.

Et puis, parfois, c’est juste pas le bon moment. Et ça aussi, c’est sacré.

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Rose La Lune et le 12/12 : un écho naturel

Chez Rose La Lune, on parle souvent de ces temps subtils.
Ces moments où les choses deviennent poreuses.
Où le réel s’effiloche un peu pour laisser passer des choses plus fines, plus vraies.

Le 12 décembre fait partie de ces fenêtres précieuses.

Alors oui, il y a des portails tous les mois. Des cycles lunaires, des portées numérologiques, des grands passages.
Mais celui-ci… celui-ci a une résonance douce, profonde, presque maternelle.

C’est un moment pour se rassembler, même à l’intérieur de soi.
Pour écouter ce qui veut partir. Et inviter ce qui veut naître.

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Envie de créer votre propre rituel du 12/12 ?
Partez de vos sensations.
Pas d’une règle.
Ajoutez ce qui vous fait du bien : un parfum, un mantra, un dessin maladroit, un mot chuchoté… Ce qui compte, ce n’est pas le geste.
C’est l’intention douce, vibrante, sincère.

Et si ce portail ne vous ouvre rien…
Alors c’est peut-être vous qui allez ouvrir quelque chose. Qui sait ?