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Portail énergétique du 21 décembre 2025 : la traversée du solstice
PAR DIANE LENCRE
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Il y a ce moment, chaque année, où la lumière s’arrête. Où le jour décide de ne plus reculer. Où le noir devient plein. Dense. Chargé d’un silence qui dit tout. Le 21 décembre, ce n’est pas une simple journée d’hiver. C’est un seuil. Un passage ancien. Primordial. Et en 2025, ce portail énergétique du solstice est plus qu’un tournant. C’est une renaissance souterraine.
Pas une renaissance tapageuse, non. Une de celles qu’on ne voit pas, mais qu’on sent. Une onde. Un frisson. Un poids qui glisse. Ou un poids qui revient, pour qu’on le regarde enfin.
Ce 21 décembre, c’est un entre-deux. On sort de l’ombre… en y entrant pleinement. Et si on le vit en conscience, c’est une alchimie.
Le solstice d’hiver : une nuit vivante
- Ce jour-là, la nuit gagne. C’est la plus longue de l’année. Et pourtant, c’est là, pile à ce moment de noir, que tout commence. Le retour progressif de la lumière. Les anciens le savaient. Les arbres aussi. Même les animaux. Ils ralentissaient. Ils écoutaient.
- Et nous ? On a souvent la tête dans les dernières courses, dans les “il faut finir ça avant Noël”, dans les mails à répondre, les valises à faire. Mais à l’intérieur, autre chose se passe. Quelque chose qui ne demande pas de wifi. Quelque chose d’immobile mais vibrant.
- Le 21 décembre, c’est le battement le plus bas avant l’élévation. Un peu comme le dernier souffle avant une plongée. Ou le moment où on ferme les yeux… pour enfin voir.
Une grande porte qui ne s’ouvre pas avec les mains
- Ce portail énergétique, il ne clignote pas. Il n’a pas de panneaux. Il ne crie pas. Il agit en silence. Et il agit partout. Dans les rêves. Dans les intuitions. Dans les douleurs fantômes. Dans les décisions qui viennent toutes seules.
- Il ne demande pas qu’on soit prêt. Il vient quand même. Il passe. Et si on l’écoute, il nous fait basculer doucement de l’ancien vers le juste. Ce n’est pas une porte en bois. C’est une faille de lumière dans l’obscurité. Et si on s’y glisse, on y laisse beaucoup. Des schémas, des attachements, des illusions.
- Mais on en ressort avec de l’or brut dans les mains.
Le 21.12 : une date symétrique, un message caché
- Regardez cette date. 21.12. Une sorte de miroir. Un va-et-vient entre deux temps. Entre deux forces. Le 2 qui relie. Le 1 qui initie. Le 1 qui répète. Le 2 qui referme.
- C’est une structure inversée, comme une invitation à regarder à l’intérieur. À inverser la logique. À comprendre par l’intuition. À sentir au lieu d’analyser. Le 21.12, c’est un code caché dans le temps. Et cette année, il tombe un dimanche. Jour de pause. De chaleur. De lumière douce. Comme si l’univers nous murmurait : “T’es libre aujourd’hui. Viens écouter.”
Ce qu’on peut vivre autour du 21 décembre
- Les jours avant, on peut sentir une grande lassitude. Un ralentissement forcé. L’impression qu’on n’avance plus, que tout se met en pause. Et c’est exactement ça. Le corps entre en veille. Le mental sature. Et derrière, le cœur, lui, commence à chuchoter.
- Il y a ceux qui pleurent sans raison. Ceux qui n’arrivent plus à dormir. Ceux qui se réveillent avec une sensation d’urgence. Et puis ceux qui n’ont qu’une envie : rester seuls. Couper. Respirer. C’est un nettoyage par le silence. Une retraite sans monastère.
- Et tout est juste.
Des émotions de fond qui remontent
- Ce portail est connecté à la lumière intérieure. Mais pour que cette lumière se ravive, il faut aller là où c’est éteint. Il faut accueillir l’ombre, pas la fuir. Les blessures non digérées. Les attentes frustrées. Les mémoires anciennes. Les “j’aurais dû”. Les “je ne suis pas assez”.
- Tout ce bazar émotionnel peut revenir en vrac. Mais pas pour nous noyer. Pour nous libérer. Ce n’est pas le moment d’être parfait. C’est le moment d’être vrai. Même si ça tremble. Même si ça gratte. Même si ça râle à l’intérieur.
- Le 21 décembre, on laisse tomber le masque. Même juste pour soi.
Que faire pour accompagner ce portail ?
Ce n’est pas un portail d’action. C’est un portail d’intégration. On peut :
- Éteindre les lumières artificielles
- Allumer une ou deux bougies, pas plus
- S’enrouler dans une couverture
- Écouter le silence (vraiment)
- Écrire ce qui sort, même si c’est moche
- Méditer sans posture, sans attente
- Manger lentement, chaud, doux
- Demander à son âme : “Et toi, qu’est-ce que tu veux maintenant ?”
Ce jour-là, il ne faut pas chercher à briller. Il faut se laisser traverser.
Pourquoi on parle de portail énergétique inversé pour le portail du 21/12?
- La plupart des portails énergétiques dits "miroirs", comme le 02/02, 03/03, ou 11/11, suivent une logique de duplication. Même chiffre, même énergie, effet de résonance. C’est doux, fluide, aligné. On avance avec l’univers, sans trop de friction.
- Mais le 21/12, lui, ne suit pas cette règle. Il ne se dédouble pas, il s’inverse. C’est un miroir retourné, presque déroutant. Au lieu de s’ouvrir dans un élan symétrique, il se replie sur lui-même, comme une spirale qui oblige à plonger à l’intérieur avant de rayonner à l’extérieur.
- C’est un portail de réajustement, pas d’amplification. Là où les 03/03 ou 02/02 renforcent une dynamique (jumeaux, équilibre, création), le 21/12 casse la boucle. Il vient poser une question : Et si vous aviez mal lu les signes ? Et si ce que vous cherchez dehors... était en train de se retourner en vous ?
- Le 21/12 demande un basculement, un passage à l’envers. Il parle d’alchimie intérieure, de désenvoûtement subtil, et de renversement de polarité. On ne récolte pas, on nettoie. On ne démarre pas, on clôt. C’est le grand tri énergétique avant la renaissance du solstice.
Une préparation à Noël… mais pas comme on croit
- Ce portail du 21 décembre, c’est un nettoyage spirituel avant Noël. Pas pour être "pur", non. Pour être plus présent. Moins dispersé. Moins étourdi par l’extérieur.
- Quand on le vit vraiment, Noël n’est plus juste une fête. C’est une expérience vibratoire. Un retour à la lumière. Pas celle qu’on suspend dans le sapin. Celle qui palpite au fond du ventre, discrète, mais bien vivante.
- Ce portail, c’est le sas. Le vestibule. Il prépare le cœur pour les jours sacrés. Il rend possible l’émerveillement. Pas celui de l’enfant. Celui de l’âme.
Et après ?
- Après le 21, la lumière revient. Lentement. Quelques minutes de plus chaque jour. Et à l’intérieur, quelque chose se remet à pousser. Un rêve. Une idée. Une force tranquille. On commence à sentir une direction. Pas une résolution de nouvelle année. Une vraie direction.
- Ce portail a déposé des graines. Elles vont germer en janvier. En février. Et au printemps, on verra ce qu’on a semé sans même s’en rendre compte.
À propos de l’autrice
Diane Lencre, rédactrice pour Rose La Lune Paris, écrit comme on souffle un vœu à la lune. Guidée par les cycles lunaires et portée par une passion sincère pour le bien-être, elle partage des mots de douceur, d’inspiration et de tendresse pour éclairer les chemins intérieurs.
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