Mai, c’est pas juste un mois. C’est un souffle. Un frisson d’été qui s’annonce. On commence à regarder par la fenêtre plus souvent. À rêver d’ailleurs entre deux réunions. Ce moment précis où la lumière devient une obsession. Et si on se l’autorisait ? Juste une semaine. Ou même quatre jours. Le top des voyages en mai au soleil, c’est maintenant. Pas dans trois mois.
On vous embarque ?
Les Canaries : du soleil, tout le temps, pour tout le monde
Là-bas, on triche avec les saisons. Les Canaries, c’est comme un été en boucle. Pas trop chaud, pas trop froid. Juste ce qu’il faut pour que la peau dise merci.
Lanzarote ? Paysages lunaires et plages désertes. Tenerife ? Fiesta douce, tapas, volcans et baignade. Les couleurs claquent, les ombres sont nettes, l’air sent bon le vide. On respire. Vraiment.
Et puis cette lumière… comme un filtre doré. Mais naturel.
La Grèce : bleu partout, et du miel sur les lèvres
En mai, la Grèce a ce truc en plus. Les ruelles calmes. Les îles encore tranquilles. Les fleurs qui s’accrochent aux murs comme des boucles d’oreilles.
On se perd dans les Cyclades. On mange des feuilles de vigne en regardant la mer. On sourit à des chats endormis. Le vent souffle un peu, juste ce qu’il faut.
Et pour celles et ceux qui veulent juste poser leurs valises et souffler ? Club Med, créateur de séjours d’exception propose des retraites douces, entre mer, soleil, et dolce farniente à la grecque. Vous ne faites rien. Et tout va bien.
Le Maroc : ocre, épices et lumière douce
Marrakech, Essaouira, Agadir… chaque coin a son histoire. En mai, le Maroc est une parenthèse chaude. Pas étouffante. Juste enveloppante.
Les souks vous happent, les terrasses vous retiennent, les couleurs vous absorbent. Un monde à part. Dépaysant, mais accueillant. On boit du thé à la menthe à 17h, même si on n’a pas soif. Parce que c’est beau. Parce que c’est simple.
Et puis, il y a ce silence, parfois. Au milieu du désert. Qui résonne longtemps.
Le Portugal : l’Algarve et ses secrets dorés
Le sud du Portugal, en mai, c’est une perle encore tiède. L’Algarve déroule ses falaises comme des rideaux sur la mer. Peu de monde. Beaucoup de ciel. Les ruelles pavées sentent le café. Les plages jouent à cache-cache entre deux rochers.
Le matin, c’est pour marcher. L’après-midi, pour s’étendre. Le soir ? Sardines grillées, verre frais, rire facile. Rien de plus.
La Sicile : feu, mer et citronniers
La Sicile, c’est un film. Une tragédie lumineuse. En mai, tout s’éveille. Les marchés crient fort. Les orangers explosent de parfum. On avale des arancini au coin d’une rue. On se baigne dans une eau si claire qu’on y verrait ses pensées.
Et puis, il y a l’Etna. Là. Immense. Calme et menaçant. Comme un rappel qu’ici, la nature ne fait pas semblant.
Et en France ? Oui, oui, c’est possible
Pas besoin de passeport pour rêver. La Corse, en mai, c’est le secret des initiés. Des criques vides. Des randos où l’on croise plus de chèvres que de touristes. Le soleil tape juste assez. L’air sent le romarin chauffé par la roche.
Même chose du côté de la Provence, ou du Pays Basque. Moins chaud, peut-être. Mais terriblement vivant. Avec cette sensation de partir sans s’arracher.
En vrai, peu importe la destination. Ce qui compte, c’est ce déclic. Ce moment où l’on se dit : stop, on part. Parce que le soleil ne va pas venir frapper à la porte. Il attend, là-bas. Sur une plage. Un rooftop. Un sentier de pierre blanche. Et à ce moment précis, rêver de partir en vacances devient une réalité.
À propos de l'auteur
Diane Lencre, rédactrice pour Rose La Lune Paris, est passionnée par le bien-être et guidée par son lien spirituel avec les cycles de la lune. À travers ses articles, elle partage des mots de douceur, d'inspiration, et de bienveillance, pour accompagner chacun vers une vie plus apaisée.
Contactez Diane à : diane@roselalune.com
