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Portail énergétique du 11 novembre: quel rituel de méditation?
PAR DIANE LENCRE
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On ne va pas tourner autour du pot :
le 11 novembre, ce n’est pas qu’un chiffre qui rime. C’est une porte.
Une brèche invisible. Un sas cosmique. Un moment un peu flou, un peu flottant,
où le monde s’ouvre… différemment.
Tiens, c’est comme quand on entre dans une pièce et qu’on sent
quelque chose a changé… L’air est plus dense, le silence a un goût.
Ça ne s’explique pas, ça s’éprouve. Le 11.11, c’est ça. Une vibration.
Et cette vibration, elle appelle à s’arrêter. Pas juste faire pause.
Mais vraiment… entrer dedans. Avec le corps, les pensées, l’intuition, le souffle.
On parle de méditation, oui. Mais pas celle qu’on lance sur une appli
entre deux rendez-vous.
Non. Une vraie. Une méditation de portail.
Pourquoi le 11.11 est une date si spéciale ?
D’abord, ces chiffres : 1-1-1-1. C’est hypnotique, non ?
Un peu comme des colonnes de lumière parfaitement alignées.
En numérologie, le 1 représente un nouveau départ. Une graine. Une impulsion.
Et là, elle se multiplie. Elle s’appelle. Elle crée une symétrie presque magique.
On parle de portail énergétique car ce jour-là, selon certaines traditions,
les voiles entre les mondes sont plus fins. Entre le visible et l’invisible.
Entre le passé et le futur. Entre ce qu’on sait… et ce qu’on devine.
C’est un peu comme un écho venu de loin,
qui n’attend qu’une oreille disponible pour vibrer.
Et cet écho, c’est en vous qu’il va résonner.
Méditer ce jour-là… pour quoi faire ?
On pourrait répondre : pour se sentir mieux.
Mais franchement ? Ce serait réducteur. Parce que le 11 novembre,
la méditation ne sert pas à se calmer. Elle sert à s’aligner.
À se placer comme une antenne bien droite entre la Terre et le Ciel.
À recevoir. Mais pas juste des infos. Non. À recevoir des élans.
Des intuitions puissantes. Des pistes. Des mots qui résonnent.
Des frissons qui veulent dire quelque chose.
Ce n’est pas une méditation passive. C’est une invitation.
À dialoguer. À poser des intentions. À ouvrir des chemins.
Préparer l’espace : oui, ça compte (beaucoup)
D’abord, on prépare le lieu. Et ce n’est pas juste une histoire d’esthétique.
C’est une question de fréquence.
-
Une lumière douce (une bougie, par exemple, avec une flamme qui vacille).
-
Une odeur familière ou envoûtante (encens, sauge, bois de santal, peu importe...).
-
Un tissu qui réchauffe : tapis, couverture, quelque chose de moelleux,
qui donne envie de s’y poser sans bouger pendant un long moment. -
Et si possible… du silence. Ou une musique lente, très lente,
qui glisse comme de l’eau.
Même les pierres peuvent aider. Une améthyste par ici, une labradorite par là.
Mais inutile d’acheter tout un kit. Ce qui compte, c’est de poser l’intention.
Ressentir que là, dans cet endroit précis, quelque chose va se passer.
Le rituel : simple, mais pas banal
Il n’y a pas UNE bonne méthode.
Mais voilà une base, souple, à adapter selon vos ressentis :
-
Asseyez-vous ou allongez-vous. Mais comme si vous y étiez pour rester.
Pas un truc rapide. Un vrai “je suis là, totalement”. -
Fermez les yeux. Et respirez.
Pas besoin de contrôler quoi que ce soit.
Juste sentir l’air entrer, sortir… comme une vague. -
Visualisez un rayon de lumière verticale.
Qui part du sommet du crâne.
Qui descend lentement dans le corps.
Puis jusqu’à la Terre.
Puis remonte.
Plusieurs fois.
Comme un flux. Comme une danse intérieure. -
Quand le calme s’installe…
Formulez vos intentions.
Pas dans la tête. Dans le cœur.
Ou à voix basse. Ou en les pensant très fort.
Des phrases simples. Claires. Sincères.Exemple :
-
“Je suis prête à accueillir ce qui m’appelle.”
-
“Je laisse partir ce qui me retient.”
-
“J’ouvre la porte à ma lumière.”
-
-
Et ensuite ? Ne faites rien.
Laissez venir les images, les mots, les sensations.
Même si ça semble flou ou décousu.
C’est souvent dans le flou que les choses importantes apparaissent.
Et si on ne ressent rien ? (Spoiler : c’est normal)
Le silence peut être bruyant. Le vide peut inquiéter.
Mais parfois, c’est juste qu’on n’est pas encore accordé à la fréquence.
Et ce n’est pas grave.
Ce n’est pas parce qu’on ne “voit rien” que rien ne se passe.
Les graines, elles poussent dans l’obscurité, non ?
Le portail énergétique ne fonctionne pas comme un interrupteur.
C’est une vibration, pas une appli.
Alors on laisse le temps faire. On fait confiance.
Petites astuces pour amplifier l’expérience
-
Écrire après. Pas forcément un journal. Mais quelques phrases jetées,
comme on attrape une pensée qui passe.
Une image, un mot, une impression… -
Tirer une carte oracle. Même si on ne croit pas trop à tout ça.
C’est parfois bluffant. (Tiens, une fois, une carte “porte” est sortie un 11.11…) -
Boire quelque chose de chaud après.
Une infusion douce, genre camomille, fleur d’oranger.
Histoire d’ancrer le moment. De revenir dans le corps. -
Et si possible… ne rien prévoir juste après.
Pas de course. Pas de mails. Pas de réunion zoom.
Laissez l’espace vide. Le rituel continue, même quand on croit qu’il est fini.
Et avec la lune, ça donne quoi ?
Cette année (vérifiez dans votre calendrier lunaire préféré),
le 11 novembre peut tomber sous une phase lunaire particulière.
Nouvelle lune ? Pleine lune ? Croissante ?
Et là, bingo : ça peut renforcer l’énergie.
Car la lune, vous le savez si vous suivez ROSE LA LUNE,
elle agit comme une loupe émotionnelle.
Elle agrandit. Elle fait briller ce qui était discret.
Donc, si le portail du 11.11 tombe sur une lune montante,
on peut formuler des intentions de croissance.
Si c’est une lune décroissante : on peut se délester, nettoyer, couper.
Bref, la lune joue le rôle d’amplificateur magique.
Un moment rien qu’à vous… mais pas si seul que ça
Ce qui est fou, avec le 11 novembre,
c’est qu’on est nombreux à méditer en même temps.
Un peu partout. Parfois sans se connaître.
Mais dans la même intention.
Et rien que ça… ça crée un champ. Un filet d’énergie collectif.
Comme si plein de petits feux s’allumaient en même temps,
formant une constellation qu’on ne voit pas, mais qui existe.
Alors même si vous êtes seul(e) chez vous, en chaussettes,
vous êtes relié(e).
Ce que ce portail nous souffle, vraiment
Ce n’est pas un jour magique “à utiliser absolument”
comme une promo de cosmétique céleste.
C’est plutôt une invitation discrète, douce,
à s’arrêter, écouter, respirer autrement.
Le 11.11, on n’ajoute rien. On n’achète rien.
On enlève. On allège. On s’aligne. On écoute ce qui bruisse.
Ce qui appelle. Ce qui, parfois, ne dit rien, mais vibre très fort.
Et peut-être que ce jour-là, sans qu’on comprenne pourquoi,
on va sentir que quelque chose change de direction.
Doucement. Mais définitivement.
À propos de l’autrice
Diane Lencre, rédactrice pour Rose La Lune Paris, écrit comme on souffle un vœu à la lune. Guidée par les cycles lunaires et portée par une passion sincère pour le bien-être, elle partage des mots de douceur, d’inspiration et de tendresse pour éclairer les chemins intérieurs.
Un article vous touche ? Une phrase résonne en vous ? N’hésitez pas à laisser un commentaire ci-dessous :
Diane les lit tous… et prend toujours le temps d’y répondre.
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Écrivez-moi à : diane@roselalune.com