Black Friday 2025 : comment faire de bonnes affaires pour les cadeaux de Noël?
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Black Friday 2025 : comment faire de bonnes affaires pour les cadeaux de Noël?

PAR DIANE LENCRE

Le froid pique un peu le bout du nez.
Les vitrines s’illuminent doucement.
Et là — bim — on voit cette phrase magique partout : Black Friday.
Dates barrées, pourcentages rouges, promesses qui brillent comme des guirlandes.
Mais… comment savoir si c’est vraiment une affaire ?
Ou juste une belle étiquette sur un prix gonflé ?
Spoiler : y’a des pièges. Mais y’a aussi des vraies pépites.

On vous embarque ? C’est parti.

Un cadeau avec 40 % de réduc, c’est forcément une bonne affaire ?

Pas si vite.
Un bon prix, c’est une chose.
Un bon achat, c’est autre chose.
C’est comme acheter des skis à -70 %… quand on vit à Marseille.
(Sauf si c’est pour décorer le salon. Là, pourquoi pas.)

Donc avant tout : on réfléchit à ce qu’on veut offrir, pas juste à ce qui est soldé.
Un cadeau bien choisi, c’est une étincelle dans les yeux, pas juste une réduction à 2 chiffres.

Faire ses repérages pour trouver les meilleures offres… avant la tempête du Black Friday du 28 novembre 2025

Le Black Friday 2025, c’est le 28 novembre.
Mais les promotions, elles, commencent bien avant.
C’est devenu une Black Week, voire une Black Month.
Certains sites s’y mettent dès début novembre. D’autres, le jour J à minuit pile.
Et là, on se retrouve à cliquer avec les yeux à moitié fermés, en se disant “vite, vite, avant que ça parte”.

L’astuce ?
Se balader dans les e-shops tranquillement en amont.
Mettre dans son panier.
Noter les prix (les vrais, pas les prix barrés).
Et patienter comme un chat qui guette sa souris.

Wishlist, mais pas wish au hasard

On fait une liste précise, pas juste des “idées floues”.
Pas “un parfum” ou “des écouteurs”.
Mais le modèle, la référence, voire même la teinte.

Pourquoi ?
Parce que les promos, c’est comme un buffet à volonté.
Si on arrive affamé, on remplit son assiette de tout… et on finit écœuré.

On veut du bon, du ciblé, du qui-fait-plaisir.

Se méfier des promos qui crient trop fort

Un -70 % sur un blender inconnu ? Méfiance.
Un “prix exceptionnel” qui est le même depuis six mois ? Double méfiance.
Certains sites jouent au yoyo avec les prix.
Ils montent, ils baissent, ils font la fête à votre carte bleue.
Et vous ? Vous pensez faire une affaire… alors que vous achetez au prix normal.

Petit conseil de vieille chouette : regardez le prix moyen ailleurs.
Comparez.
Et si c’est trop beau… c’est peut-être une illusion.

Le bruit du clic à minuit pile

Il y a ce moment.
Ce frisson.
On est là, devant son écran.
On attend que la promo s’affiche.

Les doigts prêts à dégainer.
Un peu comme si on guettait les soldes chez Séphora ou l’arrivée d’un Pokémon rare.

Mais est-ce qu’il faut acheter dans la précipitation ?
Pas toujours.
Parfois, mieux vaut dormir dessus.
Et revenir quelques heures plus tard… si c’est encore là, c’est que c’était pour vous.

Bons plans selon les profils

Tiens, si on faisait un petit jeu ?
On imagine quelques profils… et leurs bons plans.

Le cousin geek
→ Une souris gamer ultra-précise, une enceinte nomade avec LEDs, un clavier mécanique qui fait clac clac.
Souvent à -30 %, voire plus.

La maman douce et stylée
→ Un coffret soin visage (avec du vrai bon produit dedans), une bougie artisanale qui sent la figue et le feu de bois.
Black Friday, c’est LE moment pour les soins haut de gamme à prix doux.

L’enfant qui adore déballer
→ Les Lego, les circuits, les jeux de société qui rigolent.
Mais attention, ça part très vite…
Et souvent, les vraies promos sont sur les anciennes versions (pas grave, ça reste des briques).

L’ado fan de fringues
→ Les baskets rares, les hoodies collectors, les collabs stylées.
Mais là aussi : faut guetter. Faut être vif. Faut presque avoir un radar dans la main.

La personne qu’on ne connaît pas trop mais qu’on veut gâter quand même
→ Bougies, thés de Noël, plaids, livres à gratter…
Des petites choses qui réchauffent. Et souvent en lot pendant le Black Friday.

Acheter malin : les petits gestes qui font la différence

  • Utiliser un comparateur de prix (pas très sexy, mais rudement utile).

  • Regarder les frais de port (parfois, ils sabotent tout).

  • Penser à l’échange facile si le cadeau ne plaît pas.

  • Vérifier les dates de livraison (on veut éviter le “désolé, votre colis arrive le 27 décembre”).

Et tiens, détail bête : avoir une carte bancaire avec plafond suffisant.
Parce que rien de plus frustrant qu’un paiement refusé à cause d’un bug de limite.

Cyber Monday le 1er décembre 2025, le petit frère discret

Tout le monde parle du vendredi noir… mais le lundi d’après, y’a aussi des trésors.

Cyber Monday, c’est souvent plus orienté tech, abonnements, logiciels.
Envie d’offrir un service de streaming, un VPN, une appli bien-être ?
C’est à ce moment-là que les prix fondent comme un chocolat chaud.

Et après le Black Friday ?

Le calme après la tempête.
Ou presque.
Parce qu’il y a encore des ventes privées. Des relances. Des codes cachés.
Ceux qui ont raté le train… peuvent parfois monter en marche.

Mais surtout, on peut savourer.
Offrir les cadeaux sans stress.
Sentir qu’on a mis du cœur, et pas juste de l’argent.

Le Black Friday, quand c’est bien joué, c’est un peu comme une chasse au trésor.
Sauf qu’au bout, ce n’est pas de l’or… mais des sourires.

Besoin d’un coup de main pour faire votre liste de cadeaux ?
On peut en discuter, refaire le monde… et dégoter ce petit truc qui fait tilt.

FAQ : D’où sort vraiment le Black Friday, et qu’est-ce qu’il veut dire au fond ?

Pourquoi ça s’appelle “Black Friday” ? C’est un truc morbide ?
Pas du tout. C’est pas un jour d’enterrement ni de tristesse. “Black”, ici, fait référence à l’encre noire utilisée par les commerçants dans leurs carnets de comptes quand ils passent enfin dans le positif (après des semaines “dans le rouge”). Bref, ce vendredi, c’est celui où le chiffre d’affaires rebondit.

Et ça vient d’où exactement ?
Des États-Unis. Comme les donuts géants et les films de Noël trop parfaits. Le Black Friday suit Thanksgiving (quatrième jeudi de novembre), et marque le début officieux des achats de Noël. Les magasins ouvraient plus tôt, les gens faisaient la queue dès l’aube, et hop… les soldes ont explosé.

Pourquoi ça a pris autant d’ampleur ?
Parce que ça combine deux trucs qu’on adore : faire des cadeaux… et faire des économies. Et aussi, disons-le, parce que la frénésie d’achat, c’est viral. Un peu comme une chanson qui reste dans la tête. Les marques ont compris que ça pouvait booster leur fin d’année. Alors elles ont tout misé dessus.

C’est une fête commerciale, non ?
Oui. Totalement. Mais est-ce que ça empêche d’en faire quelque chose de joyeux ? Pas forcément. Offrir, penser à l’autre, trouver “le bon truc au bon moment”, ça peut avoir du sens. Même si ça démarre dans une newsletter bourrée de codes promo.

Est-ce que ça a une symbolique plus profonde ?
Certains diraient que non. Mais si on regarde bien… ce moment de rabais juste avant Noël, ça dit quelque chose. Un basculement : on quitte l’automne, on entre dans l’hiver. On prépare, on rassemble. C’est un signal. On cherche à faire plaisir. Même dans la folie des paniers, y’a une intention humaine derrière.

Pourquoi le “Black Friday” existe en France maintenant ?
Parce que les frontières commerciales sont devenues toutes molles. Amazon est arrivé. Les grandes enseignes ont suivi. Et puis, on aime les bonnes affaires, même en râlant. Alors le Black Friday s’est installé… parfois timidement, parfois comme un feu d’artifice.

Et symboliquement, est-ce que c’est pas l’opposé de Noël ?
Ça dépend comment on le vit. Si on achète 14 objets inutiles dans un stress sans nom, oui, ça n’a rien de Noël. Mais si on anticipe, si on choisit bien, si on pense à l’autre… alors ça devient un peu la prélude des festivités. Un écho commercial, oui. Mais pas vide de sens.

Est-ce que c’est “mal” d’acheter pendant le Black Friday ?
Pas “mal”, mais à questionner. Si c’est réfléchi, si c’est utile, si ça évite le gaspillage… pourquoi pas ? En revanche, si c’est compulsif, épuisant, ou pour combler un vide… on peut lever le pied. Le vrai bon plan, parfois, c’est de ne rien acheter du tout.

Existe-t-il une alternative plus éthique ?
Oui, plusieurs ! Il y a le “Green Friday” (où certaines marques reversent une partie des ventes à des causes), le “Buy Nothing Day”, ou simplement… le fait de consommer différemment. Offrir du temps, une expérience, un objet durable. C’est moins tapageur, mais souvent plus puissant.

À propos de l’autrice

Diane Lencre, rédactrice pour Rose La Lune Paris, écrit comme on souffle un vœu à la lune. Guidée par les cycles lunaires et portée par une passion sincère pour le bien-être, elle partage des mots de douceur, d’inspiration et de tendresse pour éclairer les chemins intérieurs.

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